Les épiceries dans les quartiers de Librevilles et ses environs ont toujours été tenus par des expatriés, à part quelques rares exceptions.

Ces derniers nous imposent leurs rythmes de travail qui bousculent nous habitudes de consommation.

L'on note de rares echoppes qui sont tenues par les nationaux, qui tentent de trouver leur place au milieu d'une multitude.

Les ménages en seront soulagés

La nationalisation des épiceries serait une une satisfaction pour le ménage gabonais.

En effet, les retrouver dans plusieurs quartiers de Libreville ne ferait que soulager plus d'un, car souvent confrontés au fait que les boutiques soient fermés au rythme de leurs coutumes et de leur religion.

Des fermetures qui interviennent au moment d'aller faires leurs prières, ou l'exemple le plus parlant est celui constaté lors de la fin du ramadan.

Les boutiques restent fermées durant des heures, empêchants les populations à faire des achats donc elles peuvent avoir besoin à un moment précis.

On pourrait dans la mesure du possible retrouver des produits du terroir, qui empêcherait de parcourir certaines distances pour se les procurer.

Les épiceries tenues par les nationaux pourraient répondre à tout moment aux besoins des consommateurs gabonais.

Les autorités gabonaises peuvent égalemnet aller en ce sens, dans le cadre de la réduction du chômage en aidant les Gabonais qui le veulent à réaliser de tels projets. Il y a bien eu l'opération un taxi un métier un avenir. Le gouvernement peut repliquer le procéder pour ce qui conncerne le métier d'épicier. 

Ce qui dans une certaine mesure va sortir plus d'un de l'oisiveté dans ils sont sujet, et ne plus commetre des attrocités dans la cité Libreviloise et environnante.

Il est certes vrai que tous les Gabonais ne peuvent être fonctionnaire mais, des mesures doivent être prises pour l'accompagnement des volontaires.

 

 

 

 

 

 

 

 

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